Acrostiche de la route
Défi proposé par ARLETTE
Pour la communauté le monde des acrostiches
Voici ma petit participation
je vous souhaite une bonne journée
BIENVENUE et PRENEZ SOIN DE VOUS
Pour mes parents qui m'ont quittée trop tôt et qui me manquent
Acrostiche de la route
Défi proposé par ARLETTE
Pour la communauté le monde des acrostiches
Voici ma petit participation
je vous souhaite une bonne journée
Samedi 16 octobre, il y a 40 ans
je donnais la vie à ma fille Karène
Une adorable et magnifique petite fille
51 cm 3 Kg 980
Un beau bébé !
Comme elle est loin de moi.
Elle habite dans le Var.
Elle me manque beaucoup.
Surtout dans ces moments
Où on devrait tous être réunis pour faire la fête.
La carte s'ouvre
Sur un poème
Si j’avais rêvé d’un enfant !
J’aurais rêvé qu’il ait tes yeux bleus, langoureux,
Au regard joyeux, profond et si lumineux,
Brillant comme deux étoiles au ciel du firmament.
Si j’avais rêvé d’un enfant !
J’aurais rêvé qu’il ait tes beaux cheveux soigneux,
Blond argenté, longs, sur tes épaules pendant
Sentant l’odeur de lavande et de miel goûteux
Si j’avais rêvé d’un enfant !
J’aurais rêvé qu’il ait ton petit nez en trompette,
Tes joues rebondies, tes deux adorables fossettes,
Ton large sourire d’enfant heureux et content.
Si j’avais rêvé d’un enfant !
J’aurai rêvé une fille calme et tranquille,
Une enfant douce, posée et docile,
Une enfant comme toi,
Qui a donné à ma vie tant de belles joies.
Je n’aurai pas su mieux rêver
Ce jour d’octobre où tu es née.
Gentille petite fille sage, maintenant
Tu es devenue une fantastique Maman !
Yolande octobre 2010
Pour le défi Nr 18 d ' ARLETTE
La communauté
Au bonheur des mots
L'Automne
Saison aux couleurs flamboyantes,
Ton retour devrait m'enchanter,
Et pourtant mon coeur battant
Je reste fidèle à l'Eté.
Tes nuits trop prématurées,
Tes matinées beaucoup trop fraiches
De joies et de bonheur m'empêchent,
De glorifier ton arrivée .
Je suis d'humeur morose,
J'aime des couleurs pourpre ou mort doré,
Mais de cela, je ne puis me contenter,
Et tu me plonges dans une douloureuse névrose.
Si tu promets d 'offrir encore de belles jounées chaudes,
Avec un beau ciel bleu et un soleil brulant
Je ne ferai plus la nigaude
Et comme l'Eté je t'aimerais autant !
Avec mon fidèle ami comme escorte,
J'irais marcher dans la forêt,
Mes pieds dans les feuilles mortes
Joyeusement je traînerais.
Yolande Septembre 2010
Sur des grands draps de soie rose,
Mon corp dénudé se repose
Caché par des voilages blanc
Qui volent légérement au vent.
Un doux souffle carresse ma peau halée
Me faisant agréablement frissonner.
Tu t'approches lentement,
Sur le lit te pose doucement.
Sur mon front , tu déposes un tendre baiser,
Un autre aussi doux, sur le bout de mon nez,
Pour, enfin, mes lévres toutes emprisonnées,
M'entraînant dans un langoureux baiser.
Je ne sais plus où je suis.
Je ne sais plus qui je suis.
Je n'ai plus qu'une pensée sauvage,
Etre aimer
et t'aimer
Comme tous les couples de notre âge.
Mais soudain, je me réveille !
Sortant de mon rêve agité.
Prés de moi, encore tu sommeilles.
Tu sembles si apaisé !
Plus rien n'est pareil
Adieu le beau lit à paldaquin
C'est un tout autre décor.
Ton corps est bien prés du mon corps,
Mais tu ronfles, tu dors si bien.
Adieu toutes nos passions,
Nos folles nuits, nos amours de polissons.
A l'automne de notre vie ,
Nous n'avons plus qu'une envie,
Nos corps l'un contre l'autre se serrer,
Une caresse, un baiser !
Et partir dans les bras de Morphée.
Yolande 21 Septembre 2010
Le 27 août 2010
j'avais commencé ce poéme
pour Michel
Michel a ouvert les yeux.
Merci mon Dieu !
D'un profond sommeil,
Doucement , il se réveille.
Son regard reste hagard.
Ses yeux vont au hazard
Il semble si fatigué
Qu'on n'ose pas lui parler.
Mais un coup de fil
m'a annoncé que le médecin était obligé de le rendormir car il avait un problème respiratoire - une inffection aux poumons qui le faisait trés souffrir due à l'intubation !
Il y a eu deux tentatives de réveil qui ne se sont pas bien passées.
Mais depuis 3 jours !
Michel ouvre les yeux
Il nous reconnait
Il a toujours l'aide d'une machine pour respirer !
Il est trés fatigué
Il nous fixe et ne peut pas nous parler !
Maintenant il faut attendre
Attendre et attendre encore
Que Michel reprenne des forces
Ce sera trés long !
Michel la famille , les amis t'attendent
Nous sommes là prés de toi !
Avec toi !
Reviens nous vite !
nous sommes impatients d'entendre ta voix.
Gros bisous Michel !
Pour la communauté
Casse tête de la semaine
LAJEMY
Les Yeux
Pour moi ce sera
Les Yeux des Enfants
N'oubliez pas de mettre la musique pour le diaporama en positionnant la souris sur l'image
Les yeux des enfants !
De joie ils jubilent.
De peur, ils pleurent.
De garçon ou de filles,
Les yeux des enfants,
Sont saisissants.
Ils expriment leur humeur.
Peut importe l'endroit,
Peut importe l'heure.
Les yeux des enfants
Ne savent pas,
Ne trichent pas,
Ne mentent pas.
Ils sont innocents.
Regard étincellant,
Regard lumineux ,
Regard brillant,
Regard heureux,
Qu'ils soient noirs ou bleus?
Les yeux des enfants, sont accueillants.
Regard larmoyant,
Regard étonné,
Regard foudroyant,
Regard amusé,
Qu'ils soient noirs ou bleus?
Les yeux des enfants sont surprenants.
Regard faché,
Regard rieur,
Regard blessé,
Regard boudeur,
Qu'ils soient noirs ou bleus,
Les yeux des enfants sont captivants.
Démunis de parole,
Ils expriment à eux seuls
Dans leur grande profondeur,
De leurs craintes, la complexité,
De leur amour, la loyauté,
De leurs pleurs, la simplicité
De leur joie, la gaité.
C'est là, toute leur grandeur.
Dans les yeux des enfants,
On y voit tout dedans;
Le gentil, le méchant,
Le bon, le mauvais, le répugnant.
Je me noie, je m'envole, je m'évade
Dans le regard d'un enfant.
Je suis prés à toute bravade
Pour les yeux d'un enfant .
.
En toute première chose
Merci d'avoir participé à ce petit jeu
V OS CHOIX
vous les avez formulés
Le scarabé et la fourmie ! La morale - vos réponses
-=-=-=-=-=-=-=-=-
Le scarabé et la fourmie
Par une soirée du mois de juin,
Des nuages grissonnant
Dans le ciel, menaçaient
D'innonder les jardins.
Le vent soufflait ,
Et l'atmosphère se refroidissait.
Quand Dame fourmie, de loin , aperçut
Monsieur scarabé qui ne bougeait plus !
Mais que fait cet énergumème ?
Inquiéte des questions elle se pose :
Serait -il malade ?
Serait-il bloqué ?
Attent-il un camarade?
Ou est-il simplement égaré ?
Et sans hésiter, déranger Mr scarabé, ose
Inquiète, oui ! mais surtout trés curieuse,
Dame Formie se dirige vers Mr scarabé.
celui-ci paraissant un petit peu âgé ,
Elle lui demande " L'orage commence à gronder,
Voulez-vous que l'on vous emmène
Dans un endroit protégé ?
Afin , que tranquille, vous puissiez vous reposer.
Monsieur scarabé tout surpris,
et encore à moitié endormi
Gromela "Mais non grand bien me fasse,
Je me trouve trés bien à cette place.
Et ne veux pas, sans nul doute
Changer de chemin ou de route.
Je me reposais un instant .
Car voyez-vous j'ai tout mon temps.
Je ne suis pas trés pressé .
Pour me détendre un petit moment,
et prendre du bon temps ,
Ici ! je me suis arrêté .
Il ajouta, car bien éduqué :
Mais de votre obligeance, je vous remercie !
Je serais heureux de vous compter de mes amies .
Dame fourmie contrariée partit,
Un peu gênée, sans autre formalité.
Elle avait bien compris
Qu'elle avait un temps soit peu dérangé .
___________________
MORALE choisie par vous
Etre à l'écoute, attentif sans déranger
Voilà le propre d'une grande amitié
Un ami n'est jamais trop prés
Pour ne pas vous étouffer,
Et jamais trop loin
Pour répondre à votre appel
_________________
Et la Gagnante est
qui recevra une petite surprise
-=-=-=-=-=-=-=-=-=-
Merci de votre participation
Pour le défi Nr 17 d ' ARLETTE
La communauté
Au bonheur des mots
La Montagne
Ma première visite à la montagne,
C'était avec mon mari.
Pour un déménagement, en fidèle compagne
Je l'ai accompagné.
Nous avons roulé toute un après-midi
et nous sommes arrivés à la nuit.
En descendant de notre camionnette,
Je posais mon pied à terre,
Déjà je manquais d'air.
J'avais l'impression d'étouffer
J'avais mal à la tête.
Tout était noir autour de moi !
Je ne voyais rien à la ronde.
Pas d'horizon !
Que les lumières des magazins !
Ou étaient donc les habitations ?
Je me sentais angoissée.
Je n'entendais pas de bruit.
Une impression bizarre montait en moi,
On aurait dit la fin du monde.
Je n'aimais pas dutout cette sensation ,
Une sueur froide coulait de mon front.
J'étais effrayée !
Au restaurant nous avons dîner .
Dans la rue centrale illuminée,
Les gens se promenaient
J'étais un peu rassurée !
Et pourtant je n'avais qu'une envie,
Aller vite me coucher à l'hôtel.
Pas besoin de chant, de ritournelle !
M'allongée sur mon lit,
Fermer les yeux et dormir,
Attendre le nouveau jour venir.
J'étais soulagée !
De bon matin , réveillée
par l'odeur des croissants chauds,
Et le bruit des fourneaux.
Je me suis levée .
Par la fenêtre j'ai regardé.
Tout était recouvert de blanc.
Dans la nuit, il avait neigé.
Je n'avais rien entendu
Et mon mari non plus.
J'étais époustouflée!
Il n'y avait encore aucune trace.
Le soleil se levait derrière le Mont-Blanc.
Je fis un peu la grimace,
Eblouie par ses rayons ardents.
De grands sapins croulaient sous la neige poudreuse.
Les montagnes pointaient vertigineuses
Vers un ciel tout bleu.
Des multiples chalets
étaient encore fermés les volets.
Le paysage était merveilleux,
Dans sa douceur Blanche
En ce début de dimanche.
J'en croyais pas mes yeux .
Je pouvais enfin respirer.
J'étais émerveillée !
Yolande septembre 2010
Pour le défi Nr 16 d ' ARLETTE
La communauté
Au bonheur des mots
Une Fleur
J'aime les grands champs de marguerites
Parsemés de rouges coquelicots.
Je me souviens quand j'étais petite,
Je les trouvais si beaux !
Un coquelicot à la boutonnière
Arrivait mon prince charmant,
Les bras chargés de marguerites.
Sur son grand cheval blanc.
Je montait sur sa scelle derrière,
Et l'accompagnait dans sa fuite.
Dans les grands champs de marguerites
Nous allions bon vent .
Je me souviens, j'étais petite
C'était mon prince charmant.
Sur l'herbe encore humide
Nous restions assis.
Moi toute timide,
De ses victoires, j'écoutais ses récits .
Quand soudain,
Dans mon rêve enfantin ,
Je me retrouvais enfermée
Avec l'impression bizarre
D'avoir été abandonnée.
Mon rêve se poursuivait.
Seule, au milieu de ce grand champ,
Le coeur rempli d'espoir,
Une marguerite à la main
Que patiemment j'éffeuillais
En me chuchottant :
Il m'aime un peu , beaucoup,
pationnément,
A la folie, pas dutout ....!
De mon prince charmant,
Le retour crucial, j'attendais.
A mon secours, il revenait.
Yolande Septembre 2010
(Photo du web)
Pour le défi Nr 13 d ' ARLETTE
La communauté
Au bonheur des mots
La Mer sans utiliser la lettre G
Je marche les pieds nus
Sur le sable mouillé.
Dans l'écume de la mer mouvementée,
J'avance doucement, sans me presser.
Je contemple un horizon déjà connu.
Hier il a plu toute la journée.
Mais aujourd'hui, en cette fin de matinée,
Dans les flots bleus d'une mer houleuse, reflétent
Les rayons chauds d'un soleil nouveau.
C'est un moment si doux, si beau !
Je souris à toutes ces merveilles :
Les embruns de la mer déchaînée ;
La fraîcheur d' un vent audacieux;
Le cris de jeunes enfants capricieux,
Par leurs jeunes parents surveillés ;
Au dessus de nos têtes ébouriffées,
Un chien qui court et aboie
En ramenant le morceau de bois
Que son maitre vient de lancer au loin.
Main dans la main,
Un vieux monsieur et une vieille dame,
Amoureux dans l'ame
qui se promènent lentement le dos courbé.
Tout n'est que félicité !
Je m'émerveille !
J'avance rêveuse !
J'avance heureuse !
Les estivants sont repartis.
Cet endroit de rêve ont abandonné
Je me sens un peu isolée
Mais m'en trouve ravie.
J'écoute le silence
C'est une joie immense !
L'automne peut arriver,
Répendre son manteau doré,
Revitalisée, je suis prête
A faire sa conquête.
Yolande Août 2010