Retraitée, mon plus grand bonheur est d'appartenir à une famille nombreuse.
Mes passe-temps sont ma famille, mon chien, les photos, les diaporamas,la nature, la lecture et le crochet.
Bienvenue !
BIENVENUE et PRENEZ SOIN DE VOUS
Bienvenue en Vendée
Pour mes parents
Pour mes parents qui m'ont quittée trop tôt et qui me manquent
Une tempête Approchait, et je vis, en relevant la tête, Un grand nuage obscur posé sur l'horizon ; Aucun tonnerre encor ne grondait ; le gazon Frissonnait près de moi ; les branches tremblaient toutes, Et des passants lointains se hâtaient sur les routes. Cependant le nuage au flanc vitreux et roux Grandissait, comme un mont qui marcherait vers nous. On voyait dans des prés s'effarer les cavales, Et les troupeaux bêlants fuyaient. Par intervalles, Terreur des bois profonds, des champs silencieux, Emplissant tout à coup tout un côté des cieux, Une lueur sinistre, effrayante, inconnue ; D'un sourd reflet de cuivre illuminait la nue, Et passait, comme si, sous le souffle de Dieu, De grands poissons de flamme aux écailles de feu, Vastes formes dans l'ombre au hasard remuées, En ce sombre océan de brume et de nuées Nageaient, et dans les flots du lourd nuage noir Se laissaient par instants vaguement entrevoir !
Comme on voit sur la branche, au mois de mai, la rose
En sa belle jeunesse, en sa première fleur
Rendre le ciel jaloux de sa vive couleur,
Quand l'aube de ses pleurs au point du jour l'arrose:
La grâce dans sa feuille, et l'amour se repose,
Embaumant les jardins et les arbres d'odeur :
Mais battue ou de pluie, ou d'excessive ardeur,
Languissante elle meurt feuille à feuille déclose:
Ainsi en ta première et jeune nouveauté, Quand la terre et le ciel honoraient ta beauté, La Parque t’a tuée, et cendre tu reposes.
Pour obsèques reçois mes larmes et mes pleurs, Ce vase plein de lait, ce panier plein de fleurs, Afin que vif, et mort, ton corps ne soit que roses.
Pierre de Ronsard (extrait recueil sur la mort de Marie publié en 1573)
"Comme on voit sur la branche" est un poème officiel écrit sur demande d’Henri III, c'est-à-dire de circonstance, ce roi venait de perdre sa maîtresse Marie de Clèves décédée à 21 ans en 1574. Ce poème fait un parallèle avec la vie de Ronsard qui a été épris d’une paysanne Marie Dupin, morte en 1573.
Que ce soit dimanche ou lundi Soir ou matin minuit midi Dans l'enfer ou le paradis Les amours aux amours ressemblent C'était hier que je t'ai dit Nous dormirons ensemble
C'était hier et c'est demain Je n'ai plus que toi de chemin J'ai mis mon cœur entre tes mains Avec le tien comme il va l'amble Tout ce qu'il a de temps humain Nous dormirons ensemble
Mon amour ce qui fut sera Le ciel est sur nous comme un drap J'ai refermé sur toi mes bras Et tant je t'aime que j'en tremble Aussi longtemps que tu voudras Nous dormirons ensemble.
Le père Noël est enrhumé Préparons lui du thé sucré Le Père Noël est enrhumé Je crois qu'il va éternuer! Atchoum! Atchoum! Pauvre Père Noël! Atchoum! Atchoum! Il va se soigner. Le Père Noël est enroué Il a bu tout le thé sucré Le Père Noël est enroué Je crois qu'il va bientôt tousser! Huhum! Huhum! Pauvre Père Noël! Huhum! Huhum! Il va se soigner. Le Père Noël est endormi Il sortira après minuit Le Père Noël est endormi Il est tout au fond de son lit Chchut! Chchut! Dors Papa Noël Chchut! Chchut!Là-haut dans le ciel.
Un homme a été arrêté en état d'ébriété très avancée a la veille de l'arrivée du beaujolais nouveau : il fêtait encore l'arrivée de celui de l'année dernière.
Quand on se décidera à dire aux Japonais que le beaujolais nouveau n'est pas le meilleur vin et qu'Alain Delon ne tourne quasiment plus chez nous, ça va leur faire une drôle de surprise !